Pour en revenir à ce que je disais donc… Jarvis Cocker en black session.
Vive Jarvis ! Avec ou sans Pulp le personnage est toujours aussi attachant !
Unique survivant de l’époque glorieuse de la brit pop qui nous a tant enchantée ?
Brett Anderson se perd entre nouveaux projets et carrière solo depuis la fin de Suede, Damon Albarn a tiré un trait sur les hymnes de « parklike » pour jouer (brillamment) avec des personnages en 3D, Noel et Liam s’insultent toujours ! Bref il nous manquait un héros ultime, vêtu d’un pantalon en velours côtelé marron et d’un vieux pull en laine, les lunettes sécu sur le nez Jarvis est de retour ! Et ça fait bien plaisir !
Entouré de 5 musiciens, dont le très « Pulp » Steve McKey à la basse, il a enchainé morceaux de son premier album solo et petites histoires en français dans le texte ! Très drôles les histoires d’ailleurs, entre discussions sur ses habits justement et explications des chansons.
Les chansons justement parlons en : ok on n’a pas entendu de « disco 2000 », « common people » ou « underwear ». Il laisse Pulp derrière lui, c’est une autre histoire, il repart de zéro avec son « premier » album.
Mais il y a de belles choses sur ce disque, et ça sonne bien en live ! « tonite », « fat children » ou « black magic » sortent du lot mais l’ensemble est cohérent. Le groupe se cherche encore mais Jarvis est convainquant, il chante toujours en mimant ses chansons, en nous racontant ses histoires simples, l’air habité par ses compositions ! Génial et plein de charme !
Le public du studio 105 est ravi d’avoir retrouvé pendant une petite heure son héros ! Il est de retour, il n’a pas beaucoup changé et ça nous fait bien plaisir. Vive Jarvis !
(Et Vive Jéjé !!!)
Vive Jarvis ! Avec ou sans Pulp le personnage est toujours aussi attachant !
Unique survivant de l’époque glorieuse de la brit pop qui nous a tant enchantée ?
Brett Anderson se perd entre nouveaux projets et carrière solo depuis la fin de Suede, Damon Albarn a tiré un trait sur les hymnes de « parklike » pour jouer (brillamment) avec des personnages en 3D, Noel et Liam s’insultent toujours ! Bref il nous manquait un héros ultime, vêtu d’un pantalon en velours côtelé marron et d’un vieux pull en laine, les lunettes sécu sur le nez Jarvis est de retour ! Et ça fait bien plaisir !
Entouré de 5 musiciens, dont le très « Pulp » Steve McKey à la basse, il a enchainé morceaux de son premier album solo et petites histoires en français dans le texte ! Très drôles les histoires d’ailleurs, entre discussions sur ses habits justement et explications des chansons.
Les chansons justement parlons en : ok on n’a pas entendu de « disco 2000 », « common people » ou « underwear ». Il laisse Pulp derrière lui, c’est une autre histoire, il repart de zéro avec son « premier » album.
Mais il y a de belles choses sur ce disque, et ça sonne bien en live ! « tonite », « fat children » ou « black magic » sortent du lot mais l’ensemble est cohérent. Le groupe se cherche encore mais Jarvis est convainquant, il chante toujours en mimant ses chansons, en nous racontant ses histoires simples, l’air habité par ses compositions ! Génial et plein de charme !
Le public du studio 105 est ravi d’avoir retrouvé pendant une petite heure son héros ! Il est de retour, il n’a pas beaucoup changé et ça nous fait bien plaisir. Vive Jarvis !
(Et Vive Jéjé !!!)
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